Pavillon des sciences, Rouyn-Noranda, 2012
Nouveau centre de recherche universitaire de l'UQAT - Agrandissement du pavillon actuel.
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Nom de la firme responsable : Consortium BGLA, Trame et CCM² Architectes
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Équipe : Martin Brière (BGLA) et Marie-Déelle Séguin-Carrier (TRAME)
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Coût de la réalisation : 23,5 M$
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Envergure : 5831 m²
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Échéancier du projet : 2010 à 2012
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Client : Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue
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Concours remportés : Prix d'excellence Cecobois 2013, catégorie « mention »
DESCRIPTION DU PROJET
L’ Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue est l’une des Universités les plus modernes du Québec et offre des formations uniques. Le projet d’agrandissement du Pavillon des sciences de 5 831 m² visait à offrir 24 nouveaux laboratoires et des espaces d’expérimentation plus performants, à la fine pointe de la technologie.
Le bâtiment, d’une superficie de 5 831 m², se divise en deux grands usages ; l’enseignement et les recherches. Le Pavillon des sciences comprend des laboratoires de recherche, des espaces de bureaux, des salles de réunion, des espaces pour le personnel ainsi que des espaces pour les étudiants diplômés et les chercheurs postdoctoraux.
Comme le projet devait se réaliser dans un contexte de bâtiment universitaire occupé, le choix de l’implantation pour l’agrandissement devait tenir compte des impacts importants du chantier sur le fonctionnement universitaire.
Le point le plus délicat étant la jonction avec le pavillon existant, considérant le seul espace disponible sur le site, soit en lieu et place du lien intérieur existant (passerelle) avec la piscine, les gymnases et la bibliothèque, tous situés à l’intérieur du CEGEP voisin.
Dans le bâtiment existant, le réaménagement intérieur d’environ 850 m² a impliqué la mise en place de mesures transitoires, telles que le partage d’espace et la relocalisation temporaire de certains locaux, dans l’existant ou l’agrandissement. Le calendrier du chantier, pour les travaux dans l’existant a également tenu compte des calendriers des différents projets en cours des groupes de recherche en minéralogie et foresterie.
Crédit photo : Stéphane Groleau