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Maison de la Littérature de l’Institut Canadien de Québec, 2011

Projet finaliste du concours d'architecture pour l'agrandissement de la Maison de la Littérature de l’Institut Canadien de Québec.
  • Nom de la firme responsable : BGLA inc + Plante et Atelier In situ

  • Équipe : Émile Gilbert, Pierre André Levesque, Jacques plante, Annie Lebel, David Brassard

  • Coût de la réalisation : 6 M$

  • Envergure : 2 745 m²

  • Échéancier du concours : 2011

  • Client : Ville de Québec

  • Concours remportés : -

DESCRIPTION DU PROJET

Exploitant le thème de la Liberté dans son enceinte d’origine – l’édifice patrimonial de l’Institut Canadien à Québec- le projet de la Maison de la Littérature recrée, par une exubérance spatiale et formelle, des atmosphères chaleureuses et des ambiances vivantes d’une grande sobriété matérielle qui permettent de réécrire et de vivre le passé du lieu au présent et d’affirmer son caractère architectural à travers une expérience scénographique littéraire.

Articulé autour d’une ouverture verticale dans le grand volume, un dispositif scénique se déplie dans l’espace central en construisant des paysages sensoriels qui suscitent la curiosité et incite à monter jusqu’à la voûte d’origine. Sa forme exploite la grande échelle du lieu et celle plus intime des usagers.

 

Il se compose d’une galerie de portraits d’auteurs, disparus ou vivants, qui enveloppe cet espace tout en transparence avec des parois d’aluminium perforés et sérigraphiées, et aussi d’un ruban scénographique, fil conducteur et surface médiatrice tactile et visuelle de l’exposition. Ce ruban de bois et métal se greffe aux garde-corps des escaliers et planchers et se transforme tout au long du parcours en présentoir, table, banc, comptoir, accompagnant le visiteur.

 

Ce ruban-pliage présente graphiquement un contenu visuel et sonore, en mots et images, au moyen de bandes de textes digitales, défilantes et programmables, et d’écrans tactiles intégrés dans son épaisseur. Un volume technologique opaque aux surfaces réfléchissantes, suspendu au plafond et surplombant l’Espace central, complète le dispositif scénographique, dissimulant un studio de création et intégrant des équipements de projection de textes et d’images perceptibles, entre autres, depuis la passerelle située juste en-dessous.

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